Call this


___
the secret

that is __ don't give yourself away

you're expensive ~


I imagine
,


I imagine . [the?] wrinkles are what makes you
the best lover, the voice's
yours, a hidden agenda



tempers your coarse wool



then your fingers take the whole thing to another level




                      ----------------------------------------------                                                                                                                      call this a poem                            




the thing is

Call this


____________
the secret

that is __ dont give yourself away
you're expensive ~


I imagine
,

I imagine the wrinkles are what makes you
the best lover, the voice's
yours, a hidden agenda



softens your coarse wool



then your fingers
take the whole thing to another level



---------------------------------------------- call this a poem


Jewish Painters of Montreal: Witnesses of Their Time, 1930-1948

___ Only just found out about this exhibit yesterday! But I will attend it Monday or Tuesday of next week.

From January 29 to May 2, 2010


Invaluable witnesses to their era, painters in Montreal's Jewish community offer unique insight into the atmosphere that reigned in the city between 1930 and 1948, evoking both the history of the working class and the misery of the Great Depression.

The exhibition reflects the rich and distinctive artistic contribution of these individuals through a selection of 80 works organized around four themes:

The City - During the interwar period, the expression of artistic modernity in Montreal emerged through innovative approaches to art and the artists' keen interest in a creative exploration of the city -- its neighbourhoods, architecture and atmosphere.

People in the City - An expression of leftist ideals and a progressive vision of greater social justice, the works are witness to both the inherent misery of urban life during the Great Depression and to Montreal's brimming cultural scene: leisure, entertainment, and the nightlife on the Main.

The War - World War II saw many artists from the Jewish community become actively involved in combat. They took an original approach to portraying the fundamental issues that were galvanizing the world in the fight against Hitler and fascism.

The Human Figure - The intimacy of the studio, self and family portraits all figured prominently in the desire of the artists to create living art that disassociated itself from traditional landscapes to focus instead on the human form while exploring shape, colour and emotion.

Among the artists represented are Sylvia Ary, Jack Beder, Alexander Bercovitch, Sam Borenstein, Rita Briansky, Guitta Caiserman-Roth, Eric Goldberg, Herman Heimlich, Harry Mayerovitch, Louis Muhlstock, Ernst Neumann and Moe Reinblatt.

Jewish Painters of Montreal - Witnesses of their Time, 1930-1948 is produced and its touring exhibition organized by the Musée national des beaux-arts du Québec. It is presented in Montreal by the McCord Museum with the financial support of the Ministère de la Culture, des Communications et de la Conditio

__MCCOrd MuseUm _______________________

And by Coincidence if there be such a thing
over at Radio France Musique ~



nuit spéciale

John Zorn et la Radical Jewish Culture, par Alex Dutilh, dans la nuit du 24 au 25 avril >>

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Jostein Walengen






Jostein Walengen

Rigadoon plus one

jes is christs upperstart






And
Juxtaposition is his god
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In Like a Lion out Like a Lamb
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april show'rs when soote
pilgrims up the lane
lanyard
call'in the ba'n cockles
cowl crackle the'r umber
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clement

Fidèle à sa ligne éditoriale, Didier Devillez, qui a déjà publié une bonne douzaine de fac-similés représentatifs du surréalisme (essentiellement des revues) et de courants voisins, fait paraître d’un coup deux textes essentiels de Clément Pansaers, dont on dit avec plus ou moins de justesse qu’il est le principal représentant du mouvement Dada en Belgique.
En réalité, Pansaers (1885-1922) représente plutôt une forme d’avant-gardisme précédant la découverte de Dada. D’origine flamande, doué de nombreux talents artistiques, il a pratiqué la gravure, la peinture, la poésie, dans un pur esprit de subversion, de libération et d’interaction des genres, des formes, des langues, des pays... En même temps, l’écriture de cet auteur inclassable recèle une grande érudition et une élaboration formelle très poussée.
Évidemment, les deux textes ici présentés, Le Pan-Pan au Cul du Nu Nègre (publié en 1920) et Bar Nicanor, avec un portrait de Crotte de Bique et de Couillandouille par eux-mêmes (publié en 1921), titres qui donnent le ton, pourraient à la lecture passer pour être le pur produit d’une fantaisie incontrôlée. Apparemment, les pages de Pansaers sont autant à contempler qu’à lire, puisqu’elles sont composées de proses ou de vers libres dans lesquels les répétitions, les blancs, les procédés typographiques divers, les exclamations, l’utilisation des lettres capitales, des colonnes, des calligrammes, sans parler des illustrations (gravures de l’auteur lui-même), relèvent autant de la surprise visuelle que de l’étonnement littéraire. Mais pour peu que l’on s’y attarde, on perçoit, dans ce qui apparaît comme des séries improvisées, une structure circulaire, des réseaux d’images, de thèmes, de motifs, de chiffres, de sonorités, des intentions manifestes tenant à des postures esthétiques (ou anti-esthétiques), une volonté d’unifier les extrêmes et de donner cohérence à l’incohérent. Un petit extrait du Pan-Pan au Cul, pour l’exemple et le plaisir : « Au "oui" opposer un "non" – extraire du non-sens, ainsi, le sens. La partition du relatif : – Timballes ; en sourdine – triple pas – galopade. La réalité – Cymballes ! – est trépassée. Carillons : le reflet violet d’un spasme exsangue. – Eclats de rire – l’unité est multiple – violons : aigu – trilles – graves. » Voilà qui rappelle que le Pan-Pan n’est pas seulement un double coup d’arme à feu, mais aussi une danse à la mode au début du XXème siècle...
La cohérence, elle nous est dévoilée avec beaucoup de pertinence par les avant-propos de Benjamin Hennot, qui en tête de chacun des volumes analyse les circonstances de publication, les intentions de l’auteur, les influences et les éléments génétiques, les caractéristiques textuelles et thématiques, et rappelle en particulier l’importante coloration taoïste des deux ouvrages. « Un peu rapidement étiquetée dada, l’œuvre de Pansaers recèle donc, sous des dehors hétérogènes et des effets ultra-modernistes, une solide cohésion sous-jacente assurée par le taoïsme philosophique, élément crucial et méconnu dans la polygenèse du mouvement et de l’esprit dada. »
Clément Pansaers est l’une des figures les plus singulières de la littérature française de Belgique. Son œuvre, impossible à caractériser d’un mot (avant-gardisme mais pas tout à fait, dadaïsme mais sans l’influence de Tzara – qu’il connaîtra après avoir écrit beaucoup de ses textes, avant de contribuer à la disparition du mouvement et de disparaître lui-même prématurément, originalité fondée sur la liberté et la lucidité) n’a pas fini de nous étonner. On peut savoir gré à Didier Devillez et à Benjamin Hennot de mettre cet étonnement à la disposition du public, matériellement et intellectuellement.
Jean-Pierre Longre
(janvier 2003)
Jean-Pierre Longre, enseignant en littérature du XXème siècle à l'Université Jean Moulin Lyon 3, est l'auteur d'une thèse sur Raymond Queneau, de divers ouvrages ou articles sur des écrivains contemporains et sur la comparaison des langages littéraire et musical. Il a participé à l'édition des romans de Queneau dans la " Pléiade ", et effectue des recherches sur les littératures francophones (Roumanie, Belgique, Québec).

DiPThong

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O do you have loggin in mind mister D/O E to D is yer dare to dare selving? Or pelling say as orthographism's last song. like the thin thong of throng language shaving off its cutes. leaves only cactus and acutes. accent grave or long. dipthong to your merry chase


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